Le choix des chansons et légèrement différent de l’édition de même titre de 1887, mais l’ordre est quasi identique.
Table
Préface — p. V-VIII
Eugène Pottier Franc-Maçon — p. XI-XV
Appréciation de Jules Vallès — p. XVII-XVIII
1. — Sonnets
« À Napoléon 1er » (18 brumaire, an 91) — p. 3
« Abondance » (juillet 1883) — p. 4
« La Toile d’araignée » (1875) — p. 5
« La Sainte trinité » (1882) — p. 6
« Blanqui » (4 janvier 1881) — p. 7
« Droits et devoirs » (1884) — p. 8
« Mangin » (1876) — p. 9
« Marguerite » (1877) — p. 10
« Les Bêtes féroces » (janvier 1881) — p. 11
« Types perdus » (1879) — p. 12
« Entretenu à nos frais » (1884) — p. 13
« Révolution sociale » (1881) — p. 14
« La Charogne » (1875) — p. 15
2. — Chants et chansons
« Jean Misère » (1880) — p. 19-21
« L’Internationale » (juin 1871) — p. 23-25
« L’Enfantement » (juin 1848) — p. 26-27
« Jean Lebras » (1872) — p. 28-29
« La Mort d’un globe » (1849) — p. 30-31
« Propagande des chansons » (1848) — p. 32-33
« La Guerre » (1857) — p. 35-36
« La Grève des femmes » (1867) — p. 37-38
« Don Quichotte » (1869) — p. 39-40
« Défends-toi, Paris » (septembre 1870) — p. 41-42
« Guillaume et Paris » (novembre 1870) — p. 43-44
« La Montagne » (1849) — p. 45-46
« Madeleine et Paris » (1857) — p. 47-48
« Ventre creux » (1874) — p. 49-50
« L’Anthropophage » — p. 51-53
« Ce que dit le pain » (1867) — p. 54-55
« Le Chômage » — p. 56-58
« Le Fils de la fange » — p. 59-60
« J’ai faim » (mars 1848) — p. 61-62
« Leur bon Dieu » — p. 63-64
« Tu ne sais donc rien ? » (juillet 1871) — p. 65-66
« En avant la classe ouvrière » — p. 67-70
« Après nous la fin du monde » (1871) — p. 71-73
« N’en faut plus » — p. 74-75
« Chacun vit de son métier » (1883) — p. 76-77
« L’Auge » — p. 78-79
« La Commune est passée par là » — p. 80-81
« Déjà ! » — p. 82
« Salut aux quinze mille voix » — p. 83-84
« Un Utopiste en 1800 » (1868) — p. 85-87
« Les Classes dirigeantes » — p. 88-90
« Le Huit » (1882) — p. 91-92
« L’Enterré vivant » — p. 93-94
« La Nouvelle ère » (1860) — p. 95-96
« La Grève » (mars 1884) — p. 97-99
« Les Affameurs » (1882) — p. 100-101
« La Veuve du carrier » (1882) — p. 102-103
« Le Monument des fédérés » (mai 1883) — p. 105-106
« La Fille de Thermidor » (1883) — p. 107-109
« L’Insurgé » (1804 [1884]) — p. 110-111
« Le Rêve du forgeron » (1884) — p. 112-113
« Ah ! T’es rien… bon ! » (1883) — p. 114-115
« Chauffe-toi, c’est de ton bois » (1885) — p. 116-118
« Pas de fête sans l’amnistie » — p. 119-120
« Jules Vallès » (février 1885) — p. 121-123
« Le Grand krack » — p. 124-126
« L’Âge d’or » (septembre 1880) — p. 127-128
« Quand viendra-t-elle » (1870) — p. 129-131
« Regain de jeunesse » (1856) — p. 132-133
« Cartouche banquier » (1849) — p. 134-135
« La Sacoche » (1880) — p. 136-137
« Le Mur voilé » (mai 1886) — p. 139-141
« Elle n’est pas morte » (mai 1886) — p. 142-144
« Le Pressoir » — p. 145-146
3. — La Commune de Paris, poème (18 mars 1876) — p. 149-157